Un homme à distance. Kathérine
Pancol
C'est un roman épistolaire, où un homme et une femme qui se connaîssent pas, commencent à s'envoyer
des lettres parce qu'elle est libraire et il veut avoir des livres. La femme s'appelle Kay et elle habite à Fécamp toute seule. Dans sa librairie elle a une
femme qui travaille avec elle et elle a une amie (à qui elle donne les lettres
à la fin ) qui a un restaurant. L'homme s'appelle Jonathan, et il est allé à la
librairie mais quand Kay n'était pas là, donc elle ne l'a pas connu.
C'est un peu bizarre le debut du
livre parce que je trouve que normalement personne ne laisse de l'argent à un
petit libraire pour obtenir des livres sans le connaître. C'est vrai qu'à la
fin on découvre que Jonathan était vraiment David, un ancien copain à Kay ,
mais elle ne le savait pas. De toutes façons je pense que Kay devrait avoir
imaginé quelque chose.
Le long du roman la façon dont les
héros se parlent change, puisqu'ils commencent à prendre confiance et utilisent
des formules moins soutenues.
Aussi,
dans les lettres ils parlent beaucoup de livres, de ceux qu'ils aiment et ceux
qu'ils n'aiment pas. Par exemple, ils parlent de "Les Liaisons
dangereuses" qui ressemble un peu à son histoire parce que c'est
aussi un roman épistolaire, où deux personnes s'envoient des lettres.
.Jonathan
dit qu'il écrit des guides touristiques, c'est pour ça qu'il voyage dans
toute la France (Aix-en-Provence,
Fécamp, La Rochelle, Arles …) et il s'installe dans des hôtels. Le dernier se trouve en
Aix-en-Provence et il s'appelle Le Pigeonnier et c'est l'hôtel où Kay avait été
avec son ancien copain et son frère Marco.
À la fin du livre Marco se suiccide
et celle-là est la partie que j'aime le moins, surtout parce que je ne
comprends pas pourquoi il le fait, parce que si je ne me trompe pas il allait
bien et il avait un bon travail.
Dans le livre ils parlent ausssi des
personnes concernantes au cinéma, parce que David est une célébrité à
Hollywood. Par exeple on parle de Truffaut et de deux de ses films, comme "Jules
et Jim". On parle aussi d'écrivains comme Simenon, Balzac ou
Flaubert.
Pour moi ça a été un beau livre, et
j'ai bien aimé le lire, parce que même si ce n'est pas une grande oeuvre, c'est
bien de lire de temps en temps quelque chose pas compliuée pour se détendre.
Je n'ai pas trop aimé la fin parce
que je la trouve triste mais pour le reste du livre, ça a été bien.
Sandra Alonso (1º C Bach.)
Nous vous conseillons la trilogie du même auteur:
Sandra Alonso (1º C Bach.)
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On peut remarquer à la lecture des trois romans que les titres ont été mûrement réfléchis et qu'ils deviennent riches de sens une fois que l'on a découvert l'intrigue de chaque volet. C'est ainsi que les crocodiles font référence à la mort du mari de l’héroïne, Joséphine, tandis que les tortues soulignent le déclin d'Iris, la soeur de l'héroïne, et que les écureuils de Central Park marquent la réconciliation de Gary et Hortense, la fille de Joséphine.
Croiser les yeux jaunes des crocodiles, danser sur la valse des tortues et observer les écureuils le lundi, c'est entrer dans le monde de Katherine Pancol.