Quand j'étais petit/e (par les élèves de 4ème année)




Quand j'étais petite, je me souviens qu'à Noël, je faisais la sieste dans le lit de mes parents, et quand je me réveillais, je regardais  la télévision, en particulier "Cinéma de quartier" (cine de barrio),  une émission  espagnole que j'aimais beaucoup. Puis nous allions en ville et nous retrouvions  toute notre famille. J'ai de très beaux souvenirs de ces moments...ils font partie de mon enfance . GINA SAVINO

Quand  j'etais petit, j'aimais l'univers, je posais des questions  à mon père et ma mère sur les choses qu'il y avait dans le ciel. Mon frère Gustavo m'expliquait que les étoiles étaient des soleils lointains.
 Après, ma tante m'a acheté un petit système solaire du National Géographic. J'ai beaucoup appris!! Finalement j'ai acheté un livre appelé "L'univers pour les enfants" pour comprendre tout ce que je pouvais. DANIEL BLANCO

UN JOUR DE MON ENFANCE 
Je me rappelle d'une histoire de quand j'avais 7 ans. Un jour à mon village, je suis tombée de mon vélo et je me suis cassé la main, ça a été l'unique fois que j'ai eu un os cassé. Je me rappelle, que ce jour je portais une jolie jupe rose et j'étais effrayée, parce que j'ai pensé "Mes parents vont être très fâchés avec moi." Parce que ma jupe était dechirée. Bien sûr, finalement mes parents étaient plus inquiets à cause de ma main que par ma jupe. J'ai porté un plâtre sur mon bras un mois entier, et ma mère a fixé ma jupe car elle avait beaucoup de talent pour ces choses-là. ROSA BLANCA


MON ENFANCE
Quand j´étais petite, je passais mes étés dans mon village avec mes grands-parents et ma cousine, Nuria. J´allais à mon village à la fin de l´année scolaire. C´était fantastique! Je me levais tard et ma grand-mère préparait mon petit déjeuner avec des biscuits, des toasts et du chocolat. Après le petit déjeuner, je rencontrais mon groupe d´amis sur la place du village. Nous jouions à cache-cache. Nous retournions à la maison à deux heures et demie. Plus tard, je promenais mon chien avec Nuria. Puis nous sortions avec mes amis pour jouer à la balle. À neuf heures, nous retournions à la maison pour le dîner. Nuria et moi dînions ensemble avec nos grands-parents. À 10 heures du soir nous sortions de nouveau à la place du village. Nous jouions aux cartes et au cache-cache. Nous nous amusions bien! Beaucoup d´après-midis, nous allions à la piscine ou au cinéma ou à la plage... J´aimais bien ces étés! Quand les cours commençaient , je rentrais à León avec mes parents. PATRICIA PANERO
 QUAND J'ETAIS PETIT...
 Quand j'étais petit j'habitais en République Dominicaine, il faisait toujors chaud et je jouais avec le sable. J’ allais à la plage avec ma famille. Mon frère et moi faisions du vélo et nous jouions au football souvent.
Quand j'avais 7 ans, ma mère est morte et j'étais toujours triste, mais, alors je m'en suis remis. Et à partir de là, je chantais beaucoup , je dansais , je riais et j'appréciais et apprecie toujours la vie.
Un jour je suis venu en Espagne avec ma famille, j’ allais au collège Luis Vives , je jouais et parlais facilement avec tour le monde. Nous allions à l'église et j'aimais jouer au basket-ball. Maintenant je suis au lycée et j’ai beaucoup d’amis. MOISÉS ISAAC MEDINA CASTILLO 4ºC


Quand j ́étais petite
Cette redaction parle  de mon enfance.
Je suis née le cinq Juin 2002. J ́avais une peluche géante, j ́adorais parce que mon frère David me l ́avait offerte. Mon frère  s ́occupait de moi tout le temps, c ́était génial. Tous les week-end, mon père, ma mère, mon frère et moi allions à notre village, Siero De La Reina. Je me fâchais beaucoup avec mon frère parce qu ́il volait mes jouets. 
J ́étais une fille joyeuse, prétentieuse, sympathique et parfois timide et honteuse. Quand j ́ai commencé l ́école j ́ai connu beaucoup d ́amis comme par example Carmen, Iker... Ils sont géniaux. 
Mon enfance était merveilleuse: Quand j ́étais petite j ́allais avec mon grand-père à l 'écurie, c'est là qui vivaient nos chiennes, chats, lapins, porcs, vaches, chèvres et
poules, J ́adorais ma chienne, elle était très grande et forte. ́etait génial,  mais elle est morte en 2016. Maintenant j ́ai deux chiens. Ils s ́appellent Terri et Thor, Terri est né en 2003 et Thor est né en 2017. 
Un jour dans mon village je me suis brûlé la main avec le four maintenant j ́ai une petite cicatrice. Une expérience nulle mais j ́ai beaucoup appris.
Après le 28 Décembre de 2016, un docteur m ́a operée, j ́avais une appendicite.
À mon avis, ma vie est fantastique! MONICA PRESA


Quand j ´étais petite…
   Quand j´étais petite j´aimais jouer avec mes cousins au basketball et au volleyball.
J´adorais aller à l´école pour jouer avec mes amis. Je regardais toujours la télévision, et j´adorais regarder des films tous les week-ends parce que je les trouvais très intéressants.
J´allais au cinéma avec mes grand-parents et après je jouais dans le parc avec mes camarades de l´école. 
Toutes les vacances d´été ma famille et moi allions à notre village pour revoir toute notre famille, nos amis et nos voisins et nous préparions ensemble la fête du village avec de la musique, des jeux etc… J´aimais tout préparer.
  J´aimais aussi faire du vélo avec mes amis et sortir pour explorer le village. 
Nous aimions découvrir des maisons abandonnées et des châteaux en ruines. J´allais camper avec mon cousin et ma soeur. Nous adorions regarder les étoiles toutes les nuits et nous trouvions ça très beau. Je n´oublierai jamais toutes ces nuits d´été.
En conclusion, mon enfance a été très heureuse et j’ai beaucoup de bons souvenirs que je porterai toujours dans mon coeur. Je n´oublierai pas tous mes amis du village et tous les films que j´ai vu quand j´etais petite. PAULA PACHECO




Djinn d' Alain Robbe-Grillet








Un jeune homme, Simon Lecoeur, alias Boris, entre dans un hangar pour un rendez-vous de travail. Là dedans l'attend un homme habillé en complet, chapeau et lunettes  noires qui s'avère être une femme (Djinn) qui est en réalité un mannequin qui lui parle à travers une machine.
Simon reçoit des instructions pour se rendre à la Gare du Nord de Paris et attendre quelqu'un qui arrivera en procedence  d'Amsterdam. En prenant un raccourci pour arriver plus tôt à la gare, il emprunte  une ruelle quand un enfant tombe devant lui qui  semble évanoui. Il le prend dans ses bras et une aventure étrange commence: plusieurs personnages entrent en scène en répétant  des gestes et des situations. les personnages s'emmèlent et se confondent. Jean, sa soeur Marie, l'homme du portrait, le jeune homme aux lunettes noires et sa canne d'aveugle, le garçon de café, Djinn, elle même.... à tel point qu'on ne sait plus s'il s'agit d'un rêve ou de la réalité.
À la fin du récit, tout recommence, et cette fois c'est Djinn qui arrive dans le hangar à la recherche d'un emploi et...



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Djinn est un roman d'Alain Robbe-Grillet paru en 1981. Il a été écrit en utilisant un procédé de grammaire progressive à la demande de la professeure Yvone Lenard, université de Californie. Chaque chapitre s’occupe d’un élément spécifique de la grammaire française, qui devient de plus en plus difficile au fil de la lecture. Les cinq premiers chapitres sont écrits au présent à la première personne. Le sixième chapitre est écrit à moitié au passé à la 3e personne et à moitié au présent à la première personne. Le huitième chapitre est écrit à la première personne, mais le narrateur n’est plus Simon Lecoeur. Il s’agit d’une narratrice féminine (probablement Djinn). Wikipedia

Que ce djinn-là soit une transcription phonétique du prénom féminin américain Jean, porté par une des figures majeures du récit, c’est une première malice. Elle sera suivie de beaucoup d’autres. Tout est jeu dans ce texte qui ne cesse de se dédoubler, en faisant oublier ce qu’il est pour donner l’illusion parfaite d’autre chose. Ce livre réussit à être, en même temps, une merveilleuse « histoire à dormir debout », aussi étrange qu’un conte d’Hoffmann, aussi souriante qu’une rêverie de Lewis Caroll, aussi rebondissante qu’une aventure de James Bond, et il nous apporte une excellente synthèse de l’univers romanesque de Robbe-Grillet. Tout y est. Ses décors préférés, ses objets fétiches, ses intrigues favorites d’espionnage et ses reprises maniaques des mêmes scènes sous un éclairage différent. Simon Lecœur, à la recherche d’un emploi, tombe dans les rets d’une mystérieuse Américaine, Jean, qui le subjugue au point qu’il en devient aussitôt amoureux. Sans rien lui expliquer, elle le charge d’une mission qu’un obstacle, apparemment imprévu, la chute d’un enfant sur le pavé disjoint d’une ruelle obscure, l’empêche d’accomplir. Cet accident, parfaitement programmé au contraire, remet Simon entre les mains de deux enfants, Marie et Jean, qui le contraignent à jouer l’aveugle pour découvrir quelle organisation souterraine il sert : c’est une société de lutte contre le machinisme où l’on n’use, par ironie, que de machines et dont tous les agents, découvre-t-on à la fin du récit, après plusieurs variantes, ne sont que des robots. Je pense que Robbe-Grillet n’est jamais allé aussi loin dans ses angoisses. C’est pourquoi Djinn, avec ce titre hanté et ce fil conducteur imposé, me paraît être un de ses ouvrages les plus prenants. Jacqueline Piatier, Le Monde.




Crêpes 2018

Hier, comme chaque année on a fait les crêpes de la Chandeleur. Ça sentait bon dans le lycée...
Voilà quelques photos de notre soirée crêpes:

Voilà les ingrédients tout prêts:
de la farine
des oeufs
du lait
du beurre
un peu de sel
Et les ustensiles: un petit four, un poêle et le mixeur
Julia qui commence son exposé sur la Chandeleur
Et on l'écoute attentivement!


Et les petits du Luis Vives qui viennent participer dans notre soirée crêpes
Une crêpe "solaire"
Maintenant c'est Hortensia qui fait la présentation